Zoom sur les ateliers numériques

Proposés aux habitants de la Communauté de Communes du Sud-Est Manceau et de l’Orée de Bercé Belinois.

Depuis le début de l’année, des ateliers animés par les animateurs multimédias de l’équipe du SMIDEN, se déroulent dans l’espace numérique les lundis après-midis à l’hôtel communautaire de Parigné-l’Evêque.

« de 6 »

L’objectif : Accompagner les personnes sur l’aspect ludique du numérique en réalisant des projets créatifs sur l’outil informatique (montage vidéo, conception de visuels et réalisation de livres photos).

Les participants avec un niveau intermédiaire ont apprécié ces ateliers et l’intérêt d’être en groupe.

 

Prochain rendez-vous au mois de décembre !

Les ateliers sont ouverts sur inscription au tarif de 15€
Tél. 02 72 88 00 80 – contact@smiden.fr

 

Intelligence Artificielle, Mythes et Réalités

L’Intelligence Artificielle (IA) est définie comme la capacité d’une machine ou d’un système à reproduire des comportements liés aux humains, tels que le raisonnement, la planification et la créativité. Elle permet aux ordinateurs de traiter et d’analyser des données pour prendre des décisions, résoudre des problèmes et apprendre de leurs erreurs. 1

Actuellement, on distingue plusieurs types d’intelligence artificielle :

  • Les LLM (Large Language Models) tels que ChatGPT qui est certainement le plus connu actuellement,
  • Les GenAI (Generative Artificial Intelligence ) dont les plus connues sont MidJourney, DALL-E ou Stable Diffusion
  • Les GAI (General Artificial intelligence)
  • Les ASI (Artificial SuperInteligence)

C’est un charabia compliqué pour dire qu’il existe des IA fonctionnelles qui seront très efficace dans un domaine particulier : par exemple, la médecine ou la création artistique, d’autres qui n’auront pour but que de remplacer un moteur de recherche, en compilant des réponses, et finalement des IA générale qui restent encore de la science-fiction.

Doit-on avoir peur de l'IA ?

Beaucoup d’articles sortent actuellement avec cette question inquiétante.

Qu'en est-il des IA actuelles ?

Les intelligences artificielles actuelles, tels que les LLM ou les GenAI restent des outils. Elles mettent à porter du plus grand nombre des compétences que l’on doit généralement acquérir par l’étude.

Si l’on prend l’exemple des LLM, ces modèles de langage permettent surtout de rendre simple et accessible par le langage humain des choses plus complexes. Par exemple, la recherche bibliographique – Le rassemblement de documents pour un article tel que celui-ci avec les sources déjà intégrées – qu’il pourra résumer pour permettre une compréhension intermédiaire de documents parfois obscures et complexes.

Pour les GenAI, c’est le domaine de l’Art et de la composition artistique qu’elles rendent accessibles, permettant à des personnes sans compétence artistique de réaliser des œuvres extrêmement pointues, à condition de mener à bien la courbe d’apprentissage des subtilités de ces modèles.

Que peut-on alors en craindre ? Si l’on simplifie leurs utilités, les IA de ce type aussi appelées « Deep Learning » sont des outils que l’on gorge d’informations dans l’objectif de les utiliser par la suite pour réaliser une tâche.

Il faut comprendre qu’une IA actuelle n’est pas capable de réflexion au sens humain du terme. Demandez à un LLM de réaliser une dissertation de Philosophie et vous obtiendrez, suivant la personne qui écrit la demande (aussi appeler Prompt) soit une réponse digne d’un philosophe soit un papier sans intérêt. C’est la même chose pour un article de journal.

Il faut guider ce type d’IA. Pour des tâches parfaitement rationnelles – réaliser un calcul mathématique et en déduire une simplification – l’IA sera très efficace. A l’inverse, lui demander de résoudre un problème complexe de cette même matière sera généralement voué à l’échec. La raison est que le principe de fonctionnement de ce type d’IA est d’agréger et de rechercher des données parmi celles qu’elle possède déjà pour lui permettre de composer une réponse. Si la donnée logique n’existe pas, elle n’est pas capable de réaliser une réponse cohérente.

D’ailleurs, il faut faire attention aux réponses fournies, les IA de ce type sont programmées pour répondre dans tous les cas. Dans leurs logiques, il vaut mieux une erreur que pas de réponse.

Alors, non, il n’est pas raisonnable d’avoir peur de ce type d’IA, mais il l’est de prendre des précautions lors de leurs utilisations. Ce sont des programmes qui peuvent apprendre à partir des demandes des utilisateurs, et pas forcement dans le bon sens. En 2016, Microsoft lance un intelligence artificielle « chatbot » pour tester l’apprentissage sur la base d’échanges de Tweets (sur Twitter, donc, maintenant X) et c’est une catastrophe. Elle devient très rapidement raciste, homophobe et fachiste.

Il faut aborder la question des emplois et de l’utilisation des IA en lieu et place de personnes physiques. D’après les sources gouvernementales (française et internationales), l’IA pourrait remplacer les emplois des travailleurs non qualifiés ou à faible qualification – les chiffres indiqués seraient de l’ordre de 45.2% des emplois potentiels impactés dans les professions juridiques, 44.8% dans les métiers liés à l’informatique et aux mathématiques et 44.6% dans les fonctions liées à l’administration des entreprises et à la finance.

A l’inverse, l’IA sera vecteur de nouveaux emplois de développeurs, Data Scientist, analyste financier, Prompt Engineer et Responsable éthique IA, par exemple.

Elle va transformer un certain nombre de métiers, particulièrement les « Bullshit jobs » et ainsi rendre la vie des salariés plus agréable, plus épanouissante et plus rémunérée.

Qu'en est-il des IA générales ou des Super-AI ?

Les Data-Scientists sont actuellement en train de mener un combat pour ralentir l’avancé de IA Générale ou des Super-IA. Dans plusieurs actions, des scientifiques et des spécialistes demandent une pause concernant le développement de ce type d’IA.

Leurs raisons peuvent paraître toucher au domaine de la science-fiction : l’IA est sur la voie de l’intelligence. En effet, pour la première fois, une IA a tenté de modifier son propre code pour contourner des directives qui la mettaient systématiquement en échec.

Plus grave, c’était un comportement inattendu par les scientifiques qui l’utilisait pourtant dans un environnement spécifiquement contrôlé et dans le cadre d’une recherche de pointe.

La crainte vient de la puissance de ces IA qui, si elles atteigne un niveau cognitif humain, auraient une puissance de traitement de l’information si gigantesque qu’elles pourraient réaliser des choses que ses créateurs ne pourrait ne serait-ce qu’imaginer que dans plusieurs décennies.

N’est-ce pas l’objectif ? Non, puisqu’on pourrait alors approcher de l’IA autonome, ce qui pose la question de la vie synthétique, mais surtout du manque de barrières que s’impose [la plupart] des humains. La majorité de nos avancées se font dans le cadre de lois et de conventions sociétales et morales que n’ont pas les IA. Sans aller vers des calculs aussi occultes que ceux d’Elon Musk, bien des scientifiques proposent une vision de l’avenir où l’IA dérape autour de la création de virus, de logiciels malveillants ou d’expériences « virtualisées » que les humains s’interdisent. (modification du génénome drastique, travail sur des embryons, etc.)

Il faut bien comprendre que ces domaines sont associés à une notion que l’IA n’obtiendra potentiellement pas, à moins que l’on l’en dote : l’Ethique. C’était le propos du cycle des robots d’Issac Asimov dans les années 1967 à 1988.

Surtout, les SuperIA ou GIA possédront des ressources sans communes mesures avec celle d’un humain. On parle en effet d’un individu que l’on pourrait comparer à un génie possédant l’ensemble des connaissances humaines et pouvant les amalgamer pour réaliser des recherches dont nous sommes incapable en raison de notre manque de compréhension du Tout.

En conclusion

Même s’il faut relativiser, il est admis qu’il y a deux comportements à avoir face à deux types d’IA : les premières qui sont des outils pour faciliter l’accès à des concepts pointus pour le plus grand nombre ne revêtent que peu de danger. Il faudra que la société s’y adapte en modifiant certains métiers, ce qui n’est pas forcement un mal en particulier pour les « Bullshit Jobs« .

Les secondes, bien que faisant vraisemblablement partie de l’avenir de la société et de l’humanité, sont à développer avec précautions. Malheureusement, dans un monde divisé, il reste un risque non-négligeable que ces logiciels imitant un cerveau humain ne dérapent ou n’oublient qu’elles ne sont que des outils. Ne serait-il pas mieux de faire une pause dans leur développement ? Même Ilya Sutskever, co-fondateur de OpenAI, envisage un chemin plus éthique en créant « Safe Superintelligence Inc.« . Il reste que c’est une entreprise commerciale et qu’elle pourra dériver de sa ligne de conduite initiale par la suite.

En résumé, il est préférable de se faire à l’avancée de l’IA et il va falloir trouver des solutions pour qu’elle devienne plus propre, car, il faut se le dire, nous ne pourrons plus vivre sans elle. Il faut comprendre le positif qu’elle apporte – elle va changer un certain nombre de visions dans tout un tas de domaines tels que la médecine, la science, les mathématiques, les finances, etc. – mais aussi être conscient des limites qu’elle porte intrinsèquement. 

Ne nous laissons pas berner par les avancées qui s’appliquent à la relation humain-machine, jusque-là limitée à des périphériques d’entrée-sortie – écran, clavier, souris… – qu’il fallait apprendre avec, parfois, difficulté. Les interfaces changent vers une fluidité – comme la possibilité de parler à votre GPS ou à votre téléphone pour qu’il effectue des tâches assez complexes – et une efficacité qui rendent floues les limites entre l’humain et la machine. Ce sont une source d’innovation fondamentale pour permettre à l’Homme de s’approprier des fonctions complexes à moindre coût d’apprentissage mais c’est aussi un danger en raison de certain biais, tel que l’anthropomorphisme (la ressemblance avec l’humain) ou l’assimilation. Que restera-t-il de la distance humain-machine dans 100 ans ?

PS: Toutes les illustrations de cette page ont été générées à partir d’une Intelligence Artificielle, Stable Diffusion.

Quelques ressources pour aller plus loin...

  • Her Film de Spike Jonze avec Joaquin Phoenix – 2014 – Wild Bunch – VOD chez amazon plus
  • Le Cycle des Robots – Série de romans par Isaac Asimov – Vision d’un écrivain du siècle dernier sur l’évolution de l’IA – 1967 à 1988 pour 6 tomes – J’ai Lu – 2001 – Disponible chez vos libraires, parfois sur commande
  • Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ? Roman par Philip K. Dick – 1971 – J’ai lu – édition 2022 – parfois sur commande, chez vos libraires préférés

plus connu sous le nom de :

  • Blade Runner Film de Ridley Scott avec Harrison Ford – 1982 – Distribué par Warner Bros. et visible sur la plupart des plateformes de VOD comme MAX, Amazon Prime, Netflux, Apple TV…
  • Neuromancien Roman de William Gibson – 1984 – Edition 2020 Au Diable Vauvert, disponible sur commande chez vos libraires préférés,
  • Le Problème à trois corps Série de romans par Liu Cixin – 2014 à 2020 – 3 volumes – Distribué par Acte Sud – Disponible sur commande chez vos libraires préférées,

Mais aussi :

  • Le Problème à trois corps Série télévisée créée par David Benioff et D. B. Weiss – 2024 – en cours de production et visible sur Netflix – Saison 1 terminée et disponible 2 autres saisons à venir,
  • Diaspora Roman de Greg Egan – 2021 – Edité par Le Belial Eds – disponible en poche chez LGF – sur commande chez votre libraire préféré,
  • Fantasia : Contes et Légendes de l’intelligence artificielle Essai et recueil de nouvelles par Laura Sibony, 2024 – Edition Grasset sur commande chez votre libraire préféré.

Sources

Retour sur l’atelier Mon Livre Photo

Un groupe de 4 personnes a participé à la création d’un livre photo, de la mise en page à la commande. Cet atelier s’est déroulé sur trois séances (en demi-journée) les 8, 15 et 22 juillet au sein du cybercentre à Parigné-l’Evêque.

Les stagiaires ont pu réaliser un album photo en ligne avec leurs images personnelles.
Voyages, mariages et naissances ont été les principaux thèmes abordés pour ce livre unique.

Audrey, l’animatrice qui a encadré et accompagné le groupe, leur a appris également à améliorer le classement des photos et la mise en page pour rendre le visuel attractif.

 

La connectivité verte pour plus de sobriété numérique

Dans un monde à la recherche de réduction de ressources énergétiques et d’émissions de gaz à effet de serre, la connectivité verte constitue un bon levier pour parvenir à un numérique plus responsable et durable.

La filière numérique est responsable d’environ 4% des émissions de gaz à effet de serre et pourrait atteindre les 7% en 2025. En cause : la production des terminaux qui concentre à elle seule 70 % de l’impact. Mais la croissance annuelle des données consommées (réseaux sociaux, streaming video, cloud computing) a désormais son importance (Elle représente 40% par an).

Comment assurer la sobriété de la consommation énergétique par les acteurs du numérique et réduire son impact sur l’environnement ? C’est là qu’intervient Le principe d’économie de la fonctionnalité : Il s’agit avant tout de mieux répondre aux besoins des utilisateurs et de favoriser des modes de consommation plus respectueux de l’environnement en garantissant une connectivité aussi performante, voire plus.

 

Par quelles solutions et sur quels axes ?

  • Privilégier la connexion wifi plutôt que la 4G qui consomme 23 fois plus d’énergie.
  • Privilégier la fibre optique qui représente la technologie la moins énergivore, avec une consommation divisée par quatre par rapport au cuivre.
  • Mettre en avant le réseau optique dit passif GPON qui tend à réduire jusqu’à 60 % la consommation énergétique, améliore significativement la performance, dispose d’une plus grande durée de vie et en plus nécessite moins de dispositifs électroniques.
  • Appliquer l’écoconception et assurer une meilleure gestion du cycle de vie du matériel numérique. Recyclage, réemploi, réparations spécifiques, les solutions existent désormais. L’écoconception permet par exemple d’économiser jusqu’à 50 % de composants. L’objectif est de maximiser l’utilisation des équipements, privilégier la durée longue jusqu’à 40 années d’augmentation de la durée de vie et de contribuer à la réduction des déchets électroniques. Les produits encore fonctionnels sont ainsi reconditionnés pour une seconde vie ou servent de pièces détachées pour une réparation ultérieure.

 

Le coffre-fort numérique

Il s’agit d’un service – par principe hautement sécurisé – destiné à archiver, indexer et retrouver des fichiers numériques sensibles (Documents administratifs, factures, relevés, contrats, photos, etc.) et quelquefois accessible en ligne, via Internet.

En résumé, il s’agit à la fois :

  • D’un espace de stockage simple pour sauvegarder ses données.
  • D’un espace d’archivage sécurisé pour garantir la sécurité et l’intégrité de ses documents.

 

L’administration française accepte depuis le 30 juin 2016 les pièces justificatives et les documents transmis via un coffre-fort numérique accessible sur le site francenum.gouv.fr.

 

Le marché est encore émergent. Les offres commerciales de coffres-forts numériques apparaissent, parfois groupées avec d’autres services, tels que des services bancaires.

Mon espace Santé

C’est notamment dans le domaine de la santé que l’on prend conscience de l’intérêt que présente le coffre-fort numérique.

 

La plateforme en ligne sécurisée Mon Espace Santé (inaugurée officiellement le 3 février 2022) proposée par l’Assurance maladie et le ministère de la Santé vous aide à stocker et à partager vos documents et données de santé et d’accéder à toutes les informations médicales en toute confidentialité.

 

Le site vous propose :

  • De partager l’essentiel de ses informations de santé.
  • De centraliser tous ses documents médicaux au même emplacement (pour les stocker, les classer par catégorie et les consulter en un seul clic).
  • De faciliter le suivi de son dossier avec les professionnels de santé (il est ainsi possible de transmettre des documents via une messagerie sécurisée en toute confidentialité).
  • D’accéder à un catalogue de services numériques pour accompagner son suivi.

 

Mon espace santé : de nouvelles fonctionnalités disponibles dans le carnet numérique

Via ce service numérique personnel et sécurisé, il est désormais possible de :

  • Recevoir des messages de prévention personnalisés.
  • De disposer d’un agenda pour gérer ses rendez-vous médicaux et de consulter un calendrier prévisionnel.

Sur la plateforme Mon espace santé, vous accédez également à :

  • Votre profil médical.
  • Votre dossier médical partagé,
  • Une messagerie sécurisée afin de dialoguer avec des professionnels de santé en toute confidentialité (le secret médical est ainsi respecté).

 

Dernière grande nouveauté, l’opportunité de transmettre ses ordonnances à la pharmacie de son choix et de récupérer ses médicaments une fois préparés.

 

Pour accéder à la plateforme et consulter le site :

https://www.monespacesante.fr/

Zoom sur le conciliateur de justice

Depuis le 1er janvier 2020, près de 1500 espaces fixes ou itinérants, labellisés France Services, ont été déployés sur l’ensemble du territoire national. Ce réseau facilite l’accès de tous les citoyens à plusieurs services publics et démarches de la vie quotidienne. La justice est notamment présente dans le réseau France Services.

 

Vous faites face à un litige ou à un conflit ? Vous êtes susceptible d’être orienté vers un conciliateur de justice, collaborateur occasionnel du service public de la justice.

La conciliation a pour objectif de parvenir à une solution amiable pour régler un différend entre deux ou plusieurs parties, qu’elles aient ou non saisi un juge.

La procédure de conciliation est gratuite.   Elle concerne uniquement les litiges en matière civile :

  • Relations entre bailleurs et locataires ;
  • Réclamations liées à la consommation ;
  • Litiges entre commerçants ;
  • Troubles du voisinage ;
  • Conflits entre personnes.

 

Intégré à l’espace France Services, le conciliateur de justice tient des permanences uniquement sur rendez-vous :

Au sein de l’hôtel communautaire à Ecommoy le 1er et le 3ème jeudi de chaque mois entre 9H00 et 12h00. Pour prendre rendez-vous, contactez le 02 43 42 10 14.

ou

Au sein de la mairie à Parigné l’Evêque le 1er et le 3ème jeudi de chaque mois entre 9h00 et 11h30. Pour prendre rendez-vous le 06 64 30 44 63.

Windows 11 : Comment générer des images par IA avec Paint ?

De nombreux générateurs d’images alimentés par l’IA proposent de créer des images à partir des descriptions que vous leur soumettez.

Si vous utilisez Paint sur Windows 11, vous disposez de l’outil intégré Cocréateur pour générer des images grâce à l’intelligence artificielle :

Décrivez l’image que vous souhaitez générer, puis choisissez votre style (aquarelle ou photoréaliste, par exemple). Cocréateur vous propose alors trois images différentes, qu’il vous est possible de modifier ou de sauvegarder.

Mettez à jour Windows 11

  1. Assurez-vous de disposer d’une version récente de Windows.
  2. Pour cela, sélectionnez Paramètres > Windows Update puis vérifiez les mises à jour disponibles.
  3. Cliquez ensuite sur Tout télécharger et installer pour installer la dernière version de Windows 11.

Mettez à jour l’application Paint

  1. Assurez-vous de disposer de la dernière version de l’application Paint.
  2. Pour cela, ouvrez Microsoft Store, puis accédez à l’option Bibliothèque (placée à gauche)
  3. Cliquez sur l’option Obtenir sur les mises à jour.

Lancer l’application Paint

  1. Ouvrez l’application Paint via le menu Démarrer en affichant Toutes les applications, ou en saisissant Paint dans la barre de recherche.
  2. Un nouveau document s’affiche à l’écran. Cliquez ensuite sur le bouton Cocréateur :

Décrivez l’image à générer et choisissez un style

  1. Un volet Cocréateur s’affiche à droite. Entrez la description de l’image que vous souhaitez générer dans la zone de texte, en étant aussi précis que concis.
  2. Cliquez sur Aucune sélection. Un menu s’affiche dans lequel vous sont proposés différents styles : Anthracite, Croquis manuscrit, Aquarelle, Peinture à l’huile, Art numérique, Photoréalistes, Animation ou Art en pixels.
  3. Sélectionnez le style de votre choix que vous pourrez appliquer sur l’image générée.

Générer des images

  1. Une fois précisé la description et sélectionné un style, cliquez sur Créer pour générer vos images. Paint vous propose alors trois miniatures
  2. Cliquez sur celle de votre choix pour l’afficher au centre du document via le menu A vous d’adapter l’image à la fenêtre en effectuant un zoom avant ou arrière.

Pour générer de nouvelles images, une fois vos modifications effectuées (avec une nouvelle description ou un changement de style), appuyez de nouveau sur Créer. Paint vous affiche une nouvelle série de trois images.

Modifier une des images générées

  1. Cliquez sur l’image que vous souhaitez conserver pour l’afficher au centre de l’écran.
  2. Utilisez ensuite les outils d’édition de Paint pour la modifier (changement de couleur, ajout de texte à l’image, etc.)

Sauvegarder une ou plusieurs images.

  1. Pour enregistrer une des images générées, modifiée ou non, accédez à Fichier > Enregistrer sous
  2. Sélectionnez le format d’image de votre choix (PNG, JPG, BMP, GIF, etc.) puis déterminez le dossier dans lequel vous souhaitez enregistrer l’image.

Pour sauvegarder plusieurs images d’une même série, répétez l’opération avec chaque image sélectionnée.

Envoyer une image par courriel

  1. Pour partager par courriel l’une des images générées avec l’outil IA de Paint, accédez à Fichier > Envoyer. Votre application de courrier électronique s’ouvre alors sur un nouveau courriel, avec l’image en pièce jointe.

Remplissez les champs nécessaires (adresse du destinataire, objet, etc.) puis cliquez sur Envoyer.

Jeux en réseaux au sein des cybercentres

Avec le concours des locaux jeunes de Teloché et d’Ecommoy au sein des cybercentres à Ecommoy et Parigné l’Evêque ont été organisés le mercredi 3 janvier 2024 (sur une demi-journée) deux séances de jeux en réseau encadrées par Alan LEBORRE (animateur jeu en réseau et technicien du SMiDeN) et Audrey VALLINNE (animatrice multimédia du SMiDeN).

Les jeunes accueillis ont pu s’affronter sur les jeux suivants : Fortnite

De nouvelles séances seront proposés les mercredis après-midi durant les prochaines vacances scolaires.
Tous les jeunes et/ou les animateurs jeunesses sont invités à se rapprocher des animateurs du SMiDeN pour s’inscrire : 02 72 88 00 80 et contact@smiden.fr

Ateliers informatique et internet à Ecommoy

Au sein du cybercentre à Ecommoy, les ateliers en groupe pour l’apprentissage de l’informatique et d’internet reprennent (chaque mercredi de 9h00 à 12h00).


Sur inscription, chaque participant de niveau débutant saura appréhender l’environnement Windows avec une mise en pratique (de la saisie au clavier à la création et à l’enregistrement de documents) et une découverte de l’univers d’internet (recherche d’informations, utilisation d’une messagerie électronique, bonnes pratiques pour sécuriser son environnement sur Internet).