S’échanger un fichier, ce n’est pas compliqué !

Imaginez-vous dans cette situation : vous êtes en vacances avec des amis, profitant d’une soirée conviviale après une journée remplie d’aventures. Vous avez capturé des moments inoubliables avec votre smartphone : des photos magnifiques de paysages à couper le souffle, des vidéos hilarantes de vos amis, et même quelques selfies de groupe réussis.

Naturellement, tout le monde veut partager ces souvenirs. Mais voilà, vous êtes dans un chalet isolé en montagne, sans connexion Wi-Fi fiable. Le réseau mobile est capricieux, rendant l’envoi par messagerie ou le partage via le cloud pratiquement impossible. L’ambiance joyeuse risque de s’estomper face à la frustration de ne pas pouvoir échanger ces précieux souvenirs.

C’est là qu’intervient LocalSend, une application open-source révolutionnaire qui permet le transfert de fichiers rapide et sécurisé entre appareils, sans nécessiter de connexion internet. En quelques clics, vous pouvez établir une connexion directe entre votre smartphone et les appareils de vos amis, transférant instantanément toutes les photos et vidéos de la journée. LocalSend transforme ce qui aurait pu être un moment de déception en une expérience de partage fluide et joyeuse, permettant à chacun de repartir avec tous les souvenirs de cette journée mémorable.

LocalSend : Le Super-Héros du Partage de Fichiers !

Quand il s’agit de partager des fichiers, on connaît tous cette scène : vous êtes là, smartphone à la main, prêt à envoyer cette photo épique ou ce document ultra-important, mais votre connexion Internet fait des siennes. Pas de panique ! Voici LocalSend, le super-héros du partage de fichiers qui débarque à la rescousse !

Une connexion locale, c'est magique !

Imaginez un monde où vous pouvez transférer vos fichiers à la vitesse de l’éclair, sans avoir besoin d’une connexion Internet. Avec LocalSend, c’est exactement ce qui se passe ! Cette application fonctionne sur votre réseau local, ce qui signifie que vous pouvez envoyer des fichiers directement entre votre smartphone et votre ordinateur en un clin d’œil. Plus besoin de chercher un câble USB ou de prier pour que le Wi-Fi fonctionne !

Et si vous n’avez pas de réseau Wi-Fi disponible ? Pas de problème ! Votre smartphone peut devenir un point d’accès mobile en quelques clics. Sur Android, il suffit d’aller dans les paramètres et d’activer l’option « Point d’accès et modem » ou « Point d’accès Wi-Fi mobile ». Pour les utilisateurs d’iPhone, c’est tout aussi simple : allez dans Réglages > Général > Réseau et activez le Partage de connexion. Votre téléphone devient alors un routeur Wi-Fi portable, permettant à votre ordinateur de se connecter et d’utiliser LocalSend sans accroc.

Même sans smartphone, votre PC peut créer son propre réseau Wi-Fi local. En activant le partage de connexion sur votre ordinateur, vous pouvez établir un mini-réseau entre vos appareils. Ainsi, que vous soyez au sommet d’une montagne ou dans un sous-sol sans signal, LocalSend vous permet de partager vos fichiers rapidement et en toute sécurité, transformant chaque appareil en un hub de partage instantané.

Un vrai caméléon technologique

Mais ce n’est pas tout ! LocalSend est comme un caméléon de la technologie qui parle toutes les langues de vos appareils. Imaginez un outil qui se sent aussi à l’aise sur votre ordinateur Windows que sur votre MacBook, votre smartphone Android ou votre iPad. Que vous soyez fan de la pomme, adepte du pingouin Linux, ou fidèle à Windows, LocalSend est là pour vous.

 

Cette application est un véritable caméléon numérique, s’adaptant parfaitement à chaque écran et système d’exploitation. Vous n’avez pas à vous soucier de savoir si vos amis utilisent le même type d’appareil que vous. LocalSend brise les barrières entre les différentes marques et systèmes, rendant le partage de fichiers aussi simple que de dire « bonjour ».

 

Et parlons sécurité, car c’est là que LocalSend brille vraiment ! Imaginez que vos fichiers voyagent dans une bulle invisible et impénétrable. C’est exactement ce que fait LocalSend grâce à son protocole de communication ultra-sécurisé. Vos photos de vacances, vos documents importants ou vos playlists préférées sont protégés comme s’ils étaient dans un coffre-fort high-tech.

 

En termes simples, c’est comme si vos fichiers prenaient un tunnel secret entre vos appareils. Ils ne se baladent jamais sur Internet et ne passent jamais par des serveurs externes. C’est un peu comme chuchoter un secret à l’oreille d’un ami dans une pièce fermée – personne d’autre ne peut l’entendre.

 

Avec LocalSend, vos données restent dans votre cercle intime, comme une conversation privée entre amis proches. Que vous partagiez des souvenirs précieux ou des documents confidentiels, vous pouvez être tranquille : ce qui est à vous reste à vous, en toute simplicité et en toute sécurité.

Un petit plus pour le fun

LocalSend n’est pas qu’un simple outil de partage de fichiers ; c’est comme un couteau suisse numérique pour vos échanges quotidiens ! Imaginez pouvoir envoyer non seulement vos photos de vacances ou documents importants, mais aussi des messages rapides et même le contenu de votre presse-papiers, le tout en un clin d’œil.

 

Vous avez trouvé une blague hilarante en ligne et vous voulez la partager avec vos amis ? Pas besoin de la retaper laborieusement ! Copiez-la, et hop, envoyez-la directement via LocalSend. C’est comme si vous aviez un super pouvoir de téléportation pour vos textes !

 

Et ce n’est pas tout ! LocalSend est tellement polyvalent qu’il peut même partager des dossiers entiers. Fini le temps où vous deviez compresser vos fichiers ou les envoyer un par un. Maintenant, vous pouvez partager toute votre collection de recettes de cuisine d’un seul coup !

 

Le plus beau dans tout ça ? Tout se passe sur votre réseau local, sans avoir besoin d’Internet. C’est comme si vos appareils se parlaient directement, en toute intimité. Pas de serveurs externes, pas de cloud, juste vos appareils qui échangent en tête-à-tête.

 

Alors, la prochaine fois que vous serez coincé sans connexion Internet ou que vous voudrez simplement partager quelque chose rapidement et en toute sécurité, pensez à LocalSend. C’est comme avoir un assistant personnel pour vos transferts, toujours prêt à vous faciliter la vie. Avec lui, le partage devient non seulement un jeu d’enfant, mais aussi une expérience agréable et sécurisée. Qui aurait cru que transférer des fichiers pourrait être aussi amusant ?

Sérieusement ?

LocalSend, en tant que logiciel open source, offre plusieurs avantages significatifs. Tout d’abord, sa transparence permet à chacun d’examiner le code source, garantissant ainsi la sécurité et la fiabilité de l’application. Cette ouverture favorise également l’innovation continue, car les développeurs du monde entier peuvent contribuer à son amélioration. De plus, étant gratuit et sans publicité, LocalSend reste accessible à tous les utilisateurs, sans coûts cachés ni compromis sur la vie privée. Sa compatibilité multiplateforme, couvrant Windows, macOS, Linux, Android et iOS, assure une flexibilité maximale pour les utilisateurs, quel que soit leur écosystème technologique préféré.

Cependant, LocalSend présente aussi quelques limitations potentielles. Comme toute application de partage de fichiers, elle peut être vulnérable à des risques de sécurité si elle n’est pas utilisée correctement, notamment sur des réseaux non sécurisés. De plus, bien que LocalSend fonctionne sans connexion Internet, cela signifie également qu’il est limité au partage sur un réseau local, ce qui peut restreindre son utilité dans certaines situations. Enfin, en tant que logiciel relativement nouveau et en développement constant, il pourrait y avoir des problèmes de compatibilité ou des bugs occasionnels, bien que cela soit compensé par la nature open source du projet qui permet des corrections rapides.

En conclusion

LocalSend se présente comme une solution révolutionnaire dans l’univers du partage de fichiers, offrant une alternative sécurisée, rapide et universelle aux méthodes traditionnelles. Compatible avec tous les systèmes d’exploitation majeurs, cette application open source permet un transfert direct et confidentiel entre appareils, sans passer par des serveurs externes, garantissant ainsi la protection totale de vos données personnelles.


Au-delà de sa dimension technique, LocalSend incarne une nouvelle philosophie numérique : celle d’un partage simple, instantané et sécurisé. En brisant les barrières entre les différents écosystèmes technologiques, cette application gratuite redéfinit notre rapport aux échanges numériques, plaçant l’utilisateur au centre de son expérience technologique, avec facilité, rapidité et tranquillité d’esprit

Sources et références pour cet article

Intelligence Artificielle, Mythes et Réalités

L’Intelligence Artificielle (IA) est définie comme la capacité d’une machine ou d’un système à reproduire des comportements liés aux humains, tels que le raisonnement, la planification et la créativité. Elle permet aux ordinateurs de traiter et d’analyser des données pour prendre des décisions, résoudre des problèmes et apprendre de leurs erreurs. 1

Actuellement, on distingue plusieurs types d’intelligence artificielle :

  • Les LLM (Large Language Models) tels que ChatGPT qui est certainement le plus connu actuellement,
  • Les GenAI (Generative Artificial Intelligence ) dont les plus connues sont MidJourney, DALL-E ou Stable Diffusion
  • Les GAI (General Artificial intelligence)
  • Les ASI (Artificial SuperInteligence)

C’est un charabia compliqué pour dire qu’il existe des IA fonctionnelles qui seront très efficace dans un domaine particulier : par exemple, la médecine ou la création artistique, d’autres qui n’auront pour but que de remplacer un moteur de recherche, en compilant des réponses, et finalement des IA générale qui restent encore de la science-fiction.

Doit-on avoir peur de l'IA ?

Beaucoup d’articles sortent actuellement avec cette question inquiétante.

Qu'en est-il des IA actuelles ?

Les intelligences artificielles actuelles, tels que les LLM ou les GenAI restent des outils. Elles mettent à porter du plus grand nombre des compétences que l’on doit généralement acquérir par l’étude.

Si l’on prend l’exemple des LLM, ces modèles de langage permettent surtout de rendre simple et accessible par le langage humain des choses plus complexes. Par exemple, la recherche bibliographique – Le rassemblement de documents pour un article tel que celui-ci avec les sources déjà intégrées – qu’il pourra résumer pour permettre une compréhension intermédiaire de documents parfois obscures et complexes.

Pour les GenAI, c’est le domaine de l’Art et de la composition artistique qu’elles rendent accessibles, permettant à des personnes sans compétence artistique de réaliser des œuvres extrêmement pointues, à condition de mener à bien la courbe d’apprentissage des subtilités de ces modèles.

Que peut-on alors en craindre ? Si l’on simplifie leurs utilités, les IA de ce type aussi appelées « Deep Learning » sont des outils que l’on gorge d’informations dans l’objectif de les utiliser par la suite pour réaliser une tâche.

Il faut comprendre qu’une IA actuelle n’est pas capable de réflexion au sens humain du terme. Demandez à un LLM de réaliser une dissertation de Philosophie et vous obtiendrez, suivant la personne qui écrit la demande (aussi appeler Prompt) soit une réponse digne d’un philosophe soit un papier sans intérêt. C’est la même chose pour un article de journal.

Il faut guider ce type d’IA. Pour des tâches parfaitement rationnelles – réaliser un calcul mathématique et en déduire une simplification – l’IA sera très efficace. A l’inverse, lui demander de résoudre un problème complexe de cette même matière sera généralement voué à l’échec. La raison est que le principe de fonctionnement de ce type d’IA est d’agréger et de rechercher des données parmi celles qu’elle possède déjà pour lui permettre de composer une réponse. Si la donnée logique n’existe pas, elle n’est pas capable de réaliser une réponse cohérente.

D’ailleurs, il faut faire attention aux réponses fournies, les IA de ce type sont programmées pour répondre dans tous les cas. Dans leurs logiques, il vaut mieux une erreur que pas de réponse.

Alors, non, il n’est pas raisonnable d’avoir peur de ce type d’IA, mais il l’est de prendre des précautions lors de leurs utilisations. Ce sont des programmes qui peuvent apprendre à partir des demandes des utilisateurs, et pas forcement dans le bon sens. En 2016, Microsoft lance un intelligence artificielle « chatbot » pour tester l’apprentissage sur la base d’échanges de Tweets (sur Twitter, donc, maintenant X) et c’est une catastrophe. Elle devient très rapidement raciste, homophobe et fachiste.

Il faut aborder la question des emplois et de l’utilisation des IA en lieu et place de personnes physiques. D’après les sources gouvernementales (française et internationales), l’IA pourrait remplacer les emplois des travailleurs non qualifiés ou à faible qualification – les chiffres indiqués seraient de l’ordre de 45.2% des emplois potentiels impactés dans les professions juridiques, 44.8% dans les métiers liés à l’informatique et aux mathématiques et 44.6% dans les fonctions liées à l’administration des entreprises et à la finance.

A l’inverse, l’IA sera vecteur de nouveaux emplois de développeurs, Data Scientist, analyste financier, Prompt Engineer et Responsable éthique IA, par exemple.

Elle va transformer un certain nombre de métiers, particulièrement les « Bullshit jobs » et ainsi rendre la vie des salariés plus agréable, plus épanouissante et plus rémunérée.

Qu'en est-il des IA générales ou des Super-AI ?

Les Data-Scientists sont actuellement en train de mener un combat pour ralentir l’avancé de IA Générale ou des Super-IA. Dans plusieurs actions, des scientifiques et des spécialistes demandent une pause concernant le développement de ce type d’IA.

Leurs raisons peuvent paraître toucher au domaine de la science-fiction : l’IA est sur la voie de l’intelligence. En effet, pour la première fois, une IA a tenté de modifier son propre code pour contourner des directives qui la mettaient systématiquement en échec.

Plus grave, c’était un comportement inattendu par les scientifiques qui l’utilisait pourtant dans un environnement spécifiquement contrôlé et dans le cadre d’une recherche de pointe.

La crainte vient de la puissance de ces IA qui, si elles atteigne un niveau cognitif humain, auraient une puissance de traitement de l’information si gigantesque qu’elles pourraient réaliser des choses que ses créateurs ne pourrait ne serait-ce qu’imaginer que dans plusieurs décennies.

N’est-ce pas l’objectif ? Non, puisqu’on pourrait alors approcher de l’IA autonome, ce qui pose la question de la vie synthétique, mais surtout du manque de barrières que s’impose [la plupart] des humains. La majorité de nos avancées se font dans le cadre de lois et de conventions sociétales et morales que n’ont pas les IA. Sans aller vers des calculs aussi occultes que ceux d’Elon Musk, bien des scientifiques proposent une vision de l’avenir où l’IA dérape autour de la création de virus, de logiciels malveillants ou d’expériences « virtualisées » que les humains s’interdisent. (modification du génénome drastique, travail sur des embryons, etc.)

Il faut bien comprendre que ces domaines sont associés à une notion que l’IA n’obtiendra potentiellement pas, à moins que l’on l’en dote : l’Ethique. C’était le propos du cycle des robots d’Issac Asimov dans les années 1967 à 1988.

Surtout, les SuperIA ou GIA possédront des ressources sans communes mesures avec celle d’un humain. On parle en effet d’un individu que l’on pourrait comparer à un génie possédant l’ensemble des connaissances humaines et pouvant les amalgamer pour réaliser des recherches dont nous sommes incapable en raison de notre manque de compréhension du Tout.

En conclusion

Même s’il faut relativiser, il est admis qu’il y a deux comportements à avoir face à deux types d’IA : les premières qui sont des outils pour faciliter l’accès à des concepts pointus pour le plus grand nombre ne revêtent que peu de danger. Il faudra que la société s’y adapte en modifiant certains métiers, ce qui n’est pas forcement un mal en particulier pour les « Bullshit Jobs« .

Les secondes, bien que faisant vraisemblablement partie de l’avenir de la société et de l’humanité, sont à développer avec précautions. Malheureusement, dans un monde divisé, il reste un risque non-négligeable que ces logiciels imitant un cerveau humain ne dérapent ou n’oublient qu’elles ne sont que des outils. Ne serait-il pas mieux de faire une pause dans leur développement ? Même Ilya Sutskever, co-fondateur de OpenAI, envisage un chemin plus éthique en créant « Safe Superintelligence Inc.« . Il reste que c’est une entreprise commerciale et qu’elle pourra dériver de sa ligne de conduite initiale par la suite.

En résumé, il est préférable de se faire à l’avancée de l’IA et il va falloir trouver des solutions pour qu’elle devienne plus propre, car, il faut se le dire, nous ne pourrons plus vivre sans elle. Il faut comprendre le positif qu’elle apporte – elle va changer un certain nombre de visions dans tout un tas de domaines tels que la médecine, la science, les mathématiques, les finances, etc. – mais aussi être conscient des limites qu’elle porte intrinsèquement. 

Ne nous laissons pas berner par les avancées qui s’appliquent à la relation humain-machine, jusque-là limitée à des périphériques d’entrée-sortie – écran, clavier, souris… – qu’il fallait apprendre avec, parfois, difficulté. Les interfaces changent vers une fluidité – comme la possibilité de parler à votre GPS ou à votre téléphone pour qu’il effectue des tâches assez complexes – et une efficacité qui rendent floues les limites entre l’humain et la machine. Ce sont une source d’innovation fondamentale pour permettre à l’Homme de s’approprier des fonctions complexes à moindre coût d’apprentissage mais c’est aussi un danger en raison de certain biais, tel que l’anthropomorphisme (la ressemblance avec l’humain) ou l’assimilation. Que restera-t-il de la distance humain-machine dans 100 ans ?

PS: Toutes les illustrations de cette page ont été générées à partir d’une Intelligence Artificielle, Stable Diffusion.

Quelques ressources pour aller plus loin...

  • Her Film de Spike Jonze avec Joaquin Phoenix – 2014 – Wild Bunch – VOD chez amazon plus
  • Le Cycle des Robots – Série de romans par Isaac Asimov – Vision d’un écrivain du siècle dernier sur l’évolution de l’IA – 1967 à 1988 pour 6 tomes – J’ai Lu – 2001 – Disponible chez vos libraires, parfois sur commande
  • Les androïdes rêvent-ils de moutons électriques ? Roman par Philip K. Dick – 1971 – J’ai lu – édition 2022 – parfois sur commande, chez vos libraires préférés

plus connu sous le nom de :

  • Blade Runner Film de Ridley Scott avec Harrison Ford – 1982 – Distribué par Warner Bros. et visible sur la plupart des plateformes de VOD comme MAX, Amazon Prime, Netflux, Apple TV…
  • Neuromancien Roman de William Gibson – 1984 – Edition 2020 Au Diable Vauvert, disponible sur commande chez vos libraires préférés,
  • Le Problème à trois corps Série de romans par Liu Cixin – 2014 à 2020 – 3 volumes – Distribué par Acte Sud – Disponible sur commande chez vos libraires préférées,

Mais aussi :

  • Le Problème à trois corps Série télévisée créée par David Benioff et D. B. Weiss – 2024 – en cours de production et visible sur Netflix – Saison 1 terminée et disponible 2 autres saisons à venir,
  • Diaspora Roman de Greg Egan – 2021 – Edité par Le Belial Eds – disponible en poche chez LGF – sur commande chez votre libraire préféré,
  • Fantasia : Contes et Légendes de l’intelligence artificielle Essai et recueil de nouvelles par Laura Sibony, 2024 – Edition Grasset sur commande chez votre libraire préféré.

Sources

Adresse IP : Mythe et réalité sur un indispensable d’internet.

Imaginez un monde où vous ne pouvez pas recevoir de courrier parce que vous n’avez pas d’adresse postale. Ou pire encore, imaginez que vous essayez d’envoyer une lettre à un ami, mais vous ne connaissez pas son adresse. Dans les deux cas, la communication devient presque impossible.

Sur internet, c’est un peu la même chose. Chaque ordinateur, chaque smartphone, chaque objet connecté a besoin de son propre « adresse postale » pour pouvoir communiquer avec les autres. Cette adresse, c’est l’adresse IP.

L’adresse IP, ou « Internet Protocol Address », est un numéro unique qui identifie chaque appareil connecté à internet. Sans elle, il serait impossible d’envoyer des emails, de visiter des sites web, ou même de lire cet article.

Mais comme souvent dans le domaine de la technologie, les adresses IP sont entourées de mythes et de malentendus. Cet article a pour but de démystifier les adresses IP, en séparant les mythes des réalités. Que vous soyez un débutant complet en informatique ou que vous ayez déjà quelques connaissances, vous devriez trouver ici des informations utiles pour mieux comprendre le rôle des adresses IP dans notre vie quotidienne.

Suivi de veille

Le SMiDeN a la volonté de rassembler les articles concernant la veille numérique et de renvoyer vers les pages liés sous la forme de liens. « Merci à ceux qui produisent les ressources ».